La création des SAD s’accompagne d’une nouvelle couche de complexité administrative et de reporting pour les structures, comme le stipule le décret n° 2025-07-01 et ses futurs amendements. Cela peut ralentir les prises en charge, rigidifier les services et générer une charge mentale importante pour les équipes. Le coordinateur d’autonomie, dans son approche en gré à gré, s’affranchit de ce cadre rigide pour offrir un service plus réactif et plus humain. Cette agilité est un avantage considérable pour les auxiliaires de vie, qui peuvent ainsi avoir des plannings plus stables, des interventions mieux préparées et une plus grande fluidité dans la communication. La simplicité du modèle leur permet d’éviter les frustrations liées à la lourdeur administrative et de se sentir pleinement soutenus dans leur mission, plutôt que d’être de simples numéros dans un organigramme. Il est le garant d’une gestion plus humaine et plus efficace, loin des contraintes bureaucratiques que la réforme, bien involontairement, a pu générer.
Le modèle du coordinateur d’autonomie face aux lourdeurs des SAD, une libération pour les professionnels
En savoir plus sur Jamacare – Christophe Delong
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