Les auxiliaires de vie sont souvent sollicités pour des tâches qui dépassent leur rôle, notamment administratives. La réforme des SAD, en complexifiant le système, accentue ce phénomène. Le coordinateur d’autonomie prend en charge ce volet, en gérant le lien avec les financeurs, le suivi des dossiers d’aides et la facturation. Il libère ainsi l’auxiliaire de vie de cette pression, lui garantissant un cadre de travail clair et des missions qui correspondent à son cœur de métier : l’accompagnement de la personne. C’est une manière de revaloriser le métier, de le rendre plus attractif et d’éviter l’épuisement professionnel. Il est le bouclier qui protège les auxiliaires de vie des contraintes administratives, leur permettant de se consacrer pleinement à leur vocation.

L’aide administrative : une mission partagée pour se recentrer sur l’humain
En savoir plus sur Jamacare – Christophe Delong
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